L’EstroG-100^® est un extrait de plantes traditionnelles breveté pour améliorer les symptômes de la ménopause

Le groupe de recherche de Duck-Joo Lee publie son article concernant la troisième étude clinique prospective randomisée en double aveugle sur l’innocuité et l’efficacité de l’EstroG-100^® chez 122 femmes présentant des symptômes de la ménopause aux États-Unis, montrant une amélioration significative de l’indice ménopausique de Kupperman et des symptômes climatériques individuels par rapport au début de l’étude et également par rapport au groupe placebo sans effets secondaires pertinents, tels que ceux qui surviennent après la prise d’œstrogènes.

Lors d’expériences animales sur des rats ovariectomisés, le groupe de recherche autour de Gyuok Lee montre que l’EstroG-100^® peut abaisser la température de la peau de la queue de ces rats pendant une semaine après une injection quotidienne ou empêcher l’augmentation artificielle de la température de la peau de la queue induite par le stress au-delà d’un certain seuil sans que cet effet soit influencé par le tamoxifène, ce qui permet d’expliquer pourquoi il améliore les symptômes de bouffées de chaleur dans les études cliniques.

Le groupe de recherche de Ju-Hyun Park constate – dans le cadre d’une étude de toxicité pharmacologique sur l’animal de l’EstroG-100^® administré quotidiennement pendant 26 semaines jusqu’à une concentration administrée de 1500 mg/kg, à l’exception de modifications fécales – aucun effet toxique chez les rats Sprague-Dawley mâles ou femelles, ni dans les examens cliniques, ni dans les paramètres de laboratoire, ni à l’examen post-mortem, y compris aucune modification des organes individuels.

Le groupe de recherche autour de Se Jong Kim ne trouve aucune activité œstrogénique des extraits d’eau chaude de Cynanchum wilfordii, Phlomis umbrosa et Angelica gigas (CPAE) au niveau du récepteur d’œstrogène humain dans des essais in vitro.

Le groupe de recherche de Jaeyong Kim parvient à montrer que l’extrait végétal de Cynanchum wilfordii, Phlomis umbrosa et Angelica gigas favorise les processus métaboliques anaboliques et inhibe les processus de dégradation dans l’articulation dans une expérience in vitro utilisant plusieurs essais de cellules chondrocytaires de souris, expliquant ainsi l’efficacité de l’EstroG-100^® sur les douleurs articulaires et l’ostéoporose dans les études cliniques.

Albert Chang publie les résultats de la deuxième étude clinique prospective randomisée en double aveugle contre placebo de son groupe de recherche sur la sécurité et l’efficacité de l’EstroG-100^® administré quotidiennement (ou sous placebo) pendant douze semaines à 61 femmes présentant des symptômes climatériques, rapportant une amélioration significative de l’indice ménopausique de Kupperman ainsi que des symptômes individuels et de la sécheresse vaginale, sans effets secondaires pertinents, et ce après seulement six semaines.

Le même groupe de recherche autour de Seok-Jong Lee détermine le potentiel mutagène de l’EstroG-100^® dans les cellules de la moelle osseuse de souris dans une autre étude, cette fois in vivo, et, après une étude de dosage et la détermination de la dose maximale de 2000 mg/kg, ne trouve aucune preuve d’effets dommageables sur le matériel génétique par l’EstroG-100^® dans les cellules de la moelle osseuse de souris mâles, même dans les doses les plus élevées appliquées in vitro.

Dans un montage expérimental in vitro quelque peu différent, le même groupe de travail autour de Seok-Jong Lee détermine à nouveau le potentiel mutagène dans les cellules pulmonaires de hamsters chinois (Chinese Hamster Lung, CHL/IU) et, après une étude de dosage et la détermination de la dose maximale de 5000 µg/ml, ne trouve aucune augmentation du taux de défauts chromosomiques dans les cellules examinées, même dans les doses les plus élevées appliquées, et donc aucune indication d’effets dommageables sur le génome par l’EstroG-100^®.

Seok-Jong Lee et al. déterminent le potentiel mutagène de l’EstroG-100^® dans une étude in vitro sur des souches de Salmonella typhimurium et Escherichia coli. Après une étude de dosage et la détermination de la dose maximale de 5000 µg/plaque, ils ne trouvent aucune preuve d’effets nocifs sur le génome par l’EstroG-100^® sur les souches de Salmonella typhimurium et Escherichia coli, même aux doses appliquées les plus élevées, et donc aucune preuve de potentiel mutagène.

Le groupe de recherche autour de Seo-Hee Moon mène une étude animale sur des rats Sprague-Dawley mâles et femelles afin d’estimer la dose létale de l’EstroG-100^®. Avec une seule administration orale de différentes doses, aucune anomalie clinique ni aucun décès n’ont été constatés chez les animaux étudiés jusqu’à une concentration de 4 000 mg/kg, à l’exception d’une altération des selles le premier jour, de sorte que la dose létale a été supposée être supérieure à 4 000 mg/kg.

Dans une étude in vitro, le même groupe de travail autour de Jong-Koo Kang montre qu’il n’y a pas d’affinité de liaison au récepteur à œstrogènes alpha ou bêta et conclut à partir des résultats que l’EstroG-100^® n’exerce pas son effet via la voie des œstrogènes.

Dans une étude de toxicité pharmacologique, le groupe de recherche de Jong-Koo Kang ne constate aucun effet toxique chez les rats Sprague-Dawley mâles ou femelles, ni dans les examens cliniques, ni dans les paramètres de laboratoire, ni dans les examens post-mortem, y compris aucune modification des organes individuels, lorsque l’EstroG-100^® est administré quotidiennement pendant 13 semaines jusqu’à une concentration administrée de 1000 mg/kg, c’est-à-dire environ 100 fois la concentration atteinte chez l’Homme lorsque l’EstroG-100^® est pris normalement.

Le groupe de recherche de Nam-Jin Lee réalise une étude in vitro et démontre que l’EstroG-100^® n’active pas la prolifération des cellules MCF-7 humaines positives aux récepteurs à œstrogènes et ne semble donc pas avoir l’effet secondaire dépendant des œstrogènes de l’hormonothérapie traditionnelle à cet égard.

Le groupe de travail autour de Ki-Ho Lee mène la première étude clinique prospective randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo sur Estromon^® chez 48 femmes de plus de 45 ans présentant des symptômes de périménopause qui ont reçu la substance testée ou un placebo pendant 48 semaines et montre qu’Estromon^®, lorsqu’il est pris pendant un an, améliore significativement les symptômes climatériques par rapport au groupe de contrôle et également l’EstroG-100^® par rapport au niveau de référence ainsi que la densité osseuse, sans qu’aucun effet secondaire pertinent ne se produise et après seulement trois mois.